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parce que la solidarité conduit à plus de richesse accueil qui sommes-nous? cooperise achats solidaires consom’action media a la une affaire “annexe fiscale 2018″ notre avis commentaires : 0 - date : 16 february, 2018 - catégorie : non classé après qu’il ait entendu parler “d’accise fiscale” et du mécontentement des entreprises à cause d’une “pression fiscale” trop forte, le vieux père du quartier a fini par dire : ” …impôt même oh, au lieu de chercher à “s’assoir” sur entreprises là … il peut pas “marcher” avec elles, et puis comme ça elles vont lui donner pour lui?” …. au lieu d’en rire, j’ai compris que ce vieux a tout compris de la situation. en effet, la rentrée en vigueur de la loi fiscale 2018, a fait couler beaucoup d’encre et de salive au niveau des qg des entreprises de côte d’ivoire. l’impression nette de ces dernières, est que les nouvelles dispositions fiscales allaient purement et simplement tuer la majeure partie des pme. historique : le rappel des causes d’une fiscalité inadaptée : a l’orée des indépendance, c’est en 1959 que la côte d’ivoire se dote d’une direction des impôts, héritée directement de l’administration coloniale française. pour preuve, c’est juste la nomination de m. amani goly françois a la direction des contributions diverses, le 13 avril 1959, qui constitue l’historique de la dgi. genèse de l’impôt colonial et l’esprit de la fiscalité coloniale : avant même la totale domination française dans les territoires d’afrique, au fil de la conquête, les autorités, chefs militaires ou commandants de poste, récupérèrent pour le compte de leur administration, et au détriment du fisc traditionnel, les différents impôts au nom « du sacrifice consenti par la france pour leur assurer la tranquillité et la sécurité ». en côte d’ivoire, des popula- tions avaient déjà beaucoup souffert des guerres de domination tribale et clanique. mais, concrète- ment, ces contributions ont été, jusqu’à la fin du xix e siècle, plus un baromètre pour estimer le degré de soumission de la population à l’autorité conquérante qu’une institution conçue pour répondre à des ambitions financières que doit avoir toute administration à toute époque. le souci de l’autorité coloniale était de s’assurer d’emblée, par la fiscalité, que la délégation du pouvoir de l’autorité traditionnelle à l’autorité coloniale est consommée par les populations et de s’assurer qu’ elles ont épuisé leur faculté de résistance. toutefois, la survivance du système économique prémonétaire et l’existence d’un modèle d’impo- sition traditionnelle sur lequel allait s’appuyer la fiscalité coloniale requéraient que la contribution fût acquittée en nature (coton, mil, arachide, bétail…). par ailleurs, les besoins immédiats du minimum d’outillages économiques et la nécessité d’amélio- rer la liaison entre les autorités administratives et les équipes engagées dans la conquête militaire créèrent une autre forme de contribution : les prestations. d’une manière générale, les prestations sont classées parmi les impôts, même si dans les pays pro- tégés elles s’acquittèrent exclusivement en service jusqu’en 1930. les colonies n’étant pas toutes de très fortes concentrations humaines, la réalisation des « travaux d’intérêt général », comme les chantiers vicinaux ou les grands axes de communication (routes et voies ferrées), conduit l’autorité à procéder à une réglementation qui faisait primer le service sur le « rachat ». du reste, c’est par le canal de cette institution qu’il fallut couvrir, au moins partiellement, le besoin en main-d’œuvre de l’État colonial en gestation. les prestations sont alors les toutes premières formes de travaux forcés exercés dans les pays protégés. on y eut recours, par exemple, pour la pose des poteaux et de la ligne de téléphone, des postes militaires et les différents cantonnements, mais aussi pour le portage et la mise en place des routes reliant les établissements français à l’hinterland. À l’instar de l’impôt personnel, la soumission au régime des prestations a été aussi l’expression du changement du statut juridique des populations indigènes. celles-ci vont passer du statut de sujets des chefs et souverains locaux à celui de sujets français, avec tout ce que ce terme implique comme traitement. l’évolution de la situation politique dans les colonies, guidée et garantie par une plus forte consol- idation de l’autorité administrative, renforce la signification de la fiscalité coloniale d’un éventail d’autres considérations qui seront les outils fonctionnels du nouvel ordre économique. en effet, d’une simple sonde pour évaluer l’assise populaire de l’autorité coloniale, cherche-t-on désormais à travers cette institution l’autofinancement de la colonisation, la plus forte insertion des indigènes dans l’économie capitaliste, l’extension du secteur monétaire de l’économie et enfin, comme on ne l’exprime pas souvent, « la solution pour combattre chez l’indigène » ce que eugène mage appelle « l’horreur du travail et le désir de s’y soustraire». la fiscalité coloniale est dès lors conçue pour servir à plusieurs usages, donc sans fonction catégorique ; cette multifonctionnalité servira à résou- dre à la fois des questions économiques, sociales, politico-administratives… et même à corriger une certaine attitude d’ordre « psychosociale » du noir. au début du xx e siècle, compte tenu des charges que représentent les dépenses coloniales pour la métropole, l’autorité coloniale a estimé que le temps était venu de mettre en place des structures financières autonomes propres aux colonies. en effet, l’autonomie financière de ces territoires, pensaient certains, était un remède sûr pour obtenir enfin l’adhésion de l’opinion française au fait colonial. ainsi en 1900, la loi des finances du 13 avril concrétise cette idée en établissant le régime des rapports financiers entre la france et les colonies. en côte d’ivoire, cette nouvelle ère s’est traduite aussi au point de vue économique par le début de la consolidation de l’économie coloniale avec une accentuation des investissements de la bourgeoi- sie qui disposait d’une grande influence dans le milieu politique, mais aussi du soutien du capital bancaire. À l’évidence, sur le terrain colonial le succès de cette bourgeoisie exclusivement marchan- de – du moins au départ – dépend de la dimension des transactions commerciales à entretenir avec le producteur indigène avec qui il sera en communion. la monétarisation de l’impôt de capita- tion, exigée par les nouvelles dispositions de la fiscalité, en rapport elles-mêmes avec la constitu- tion d’un régime financier autonome (et donc des budgets coloniaux), va plus que jamais rappro- cher l’indigène des maisons de commerce. ce rapprochement se fera, bien sûr, avec la complai- sance de l’autorité administrative qui recourt à la coercition, au cas échéant à la sanction, pour lever l’impôt. À cause de « l’échange inégal » sur le marché mondial et le système usuraire pratiqué par le capital marchand, dans le but de réaliser des profits élevés, le producteur indigène fut tou- jours obligé de « surproduire » – entendez par là, aller au-delà de ses capacités habituelles de pro- duction – pour satisfaire ses besoins croissants en numéraire. l’ingrate rémunération de son tra- vail le lie toujours davantage au commerçant qui détient le « pouvoir monétaire ». certes, la façon de recueillir le numéraire est laissée à l’entière appréciation du contribuable, mais très rares sont les activités qui lui en procuraient régulièrement. la filiation étroite existante entre l’impôt et le développement du commerce colonial est explicitement notée par un administrateur colonial qui écrivait que « la non-perception de l’impôt a une répercussion immédiate, non seulement sur les affaires que les commerçants peuvent traiter avec les indigènes, mais sur toute la vie économique en général». en côte d’ivoire, si la majeure partie de ce commerce était déténu par des négociants français, ils seront vite secondés par des commerçants syrio-libanais, des dioulas et certaines familles akans de la côte. enfin la dernière fonction de l’impôt réside dans ce qu’il constitue pour le noir « un stimulant au travail». le noir, disaient souvent les administrateurs coloniaux, se contente de peu. le but était donc de le contraindre, par le biais de la fiscalité, à travailler plus qu’auparavant, l’amener à sortir de l’habitude qui le cristallise dans l’autosubsistance pour désormais répondre aux besoins crois- sants de la métropole en matières premières et en denrées alimentaires. dans l’esprit du colon, le faible niveau de production des colonies est plus lié à l’oisiveté des indigènes qu’à des facteurs naturels ou au caractère rudimentaire de son outillage. ce n’est qu’en imprimant à l’indigène une forte pression fiscale qu’on arrive à le contraindre au travail. cette conception contribua aussi à donner à la fiscalité coloniale une spécificité qu’on ne devra jamais oublier. forum des amateurs de marketing de rÉseaux commentaires : 0 - date : 25 january, 2017 - catégorie : non classé marketing de réseaux par ci, marketing de réseaux par là ! eh bien, cela commence à défrayer la chronique. en effet, à tenir compte de la nature des réseaux créés par les clients de ces entreprises qui font le buzz actuellement, on a vite fait de les confondre avec des maisons de placement d’argent qui ont fait tant de mal à nos épargnes, on s’en souvient, courant 2006-2007. “premier gaou, n’est pas gaou” a dit l’artiste, cette fois-ci, les autorités gouvernementales en côte d’ivoire, demande la vigilance des souscripteurs. pour ce faire, l’association arise demande à tous ces membres et sympathisants de se joindre aux différents forum des amateurs de marketing de rÉseaux, qu’elle lance dès maintenant. le forum à pour but de nous tenir informés quant à la santé et le sérieux des entreprises de marketing de réseaux, au jour le jour. en effet, le marketing de réseaux bien conçu et mis en œuvre est un puissant outil de lutte contre la pauvreté. nous demandons aux membres de participer à ce forum. 1.dites à quels réseaux vous avez adhérez 2.est-ce que ça marche bien selon vous? 3.quelle est la qualité des produits vendus par l’entreprise promotrice du réseau? qu’est-ce que ces produits apportent dans la vie de l’acheteur? ces produits sont-ils loin d’être des gadgets de couverture d’un système ponzi? quelle note donnez-vous sur 10. 4.quelle est la nature juridique et sociétale de l’entreprise? est-ce une association, une société individuelle, une société à responsabilité limitée ou une société anonyme? comment se prennent les décisions de gestion? arrive-t-elle à faire du profit, à créer des emplois? quelle note donnez-vous sur 10. 5.y a-t-il une disposition qui favorise une solidarité vrai en faveur de la base (des nouveaux souscripteurs) par rapport au sommet, c’est à dire les anciens souscripteurs? quelle note donnez-vous sur 10. vos réactions sont attendus…. possibilité d’adhésion à http://arise.unblog.fr/consomaction/ ce petit carnet vous aide à enregistrer vos transactions sur votre compte mobile money. achetez le, recommandez-le à vos filleuls et participez ainsi aux activités de solidarité économique de notre association les pensées spirituelles qui libèrent de la pauvreté. commentaires : 0 - date : 13 april, 2013 - catégorie : non classé a l’entrée de notre site internet, nous vous faisions cette question : etes-vous convaincus que la pauvreté est avant tout le résultat d’une mentalité? en fait, cette question est juste une alerte que nous vous faisions sur le lien direct qu’il y a entre notre façon de penser, et la raison d’existence de la pauvreté. mais il existe des pensées spirituelles qui libèrent efficacement de cette maladie du monde. a la base de ces pensées remèdes, il y a la question: qu’as tu à la maison? (ce qui veut dire, qu’as tu dans ta conscience?) Écoute cette enregistrement audio en cliquant sur ce lien : qu’as tu à la maison? consom’action de poudre de cacao, pas question de commettre l’erreur de christophe colomb ! commentaires : 0 - date : 8 january, 2012 - catégorie : non classé christophe colomb fut le premier européen à découvrir le cacao, lorsqu’il aborda l’île de guanaja, près du honduras, en 1502. c’est alors qu’il fit connaissance avec les fèves de cacao transportées par les indigènes et utilisées en guise de monnaie d’échange contre les marchandises du navire. le navigateur étant perplexe sur la valeur marchande du cacao, pour le convaincre les indiens lui préparèrent un breuvage à base de fèves de cacao broyées et d’eau, dont il n’apprécia pas l’amertume. il conserva cependant le sac de fèves en échange de quelques verroteries mais ne prêta plus jamais intérêt à cette précieuse et encore mystérieuse denrée, passant ainsi à côté d’un vrai “trésor”. en effet, à sa première campagne de consom’action, arise vous invite à consommer la poudre pure de cacao, comme le faisait les mayas…. les vertus de la poudre de cacao sont immense, comparés à la petite et légère amertume que l’on peut sentir en buvant la boisson chaude de cacao. en fait, pour préparer le précieux breuvage, on a juste besoin de mettre de l’eau chaude dans une tasse, y ajouter 2 petites cuillères de la poudre de cacao, secouer un peu et c’est prêt. boire cette boisson sans sucre, sans lait etc… c’est délicieux lorsque c’ est attiédit à souhait. le bénéfice diététique est grand, car c’est une prévention des maladies cardiovasculaires ; c’est un concentré d’antioxydants et un excellent relaxant anti-fatigue. alors, ne commettons pas la même erreur que christophe colomb. c’est vrai que la majorité de nos membres vivent dans les pays premiers producteurs mondiaux de cacao, mais sont-ils pas entrain, d’un point de vue diététique, de passer à côté d’un trésor? possibilité d’adhésion à http: http://arise.unblog.fr/consomaction/ la consom’action en marche commentaires : 0 - date : 9 december, 2011 - catégorie : non classé en savoir davantage sur la consom’action ! la consom’action ou consommation responsable est un néologisme qui exprime cette idée selon laquelle on peut « voter avec son caddie » en choisissant à qui l’on donne son argent, en choisissant de consommer de façon citoyenne et non plus seulement de manière consumériste. le consom’acteur ou la consom’actrice est un consommateur qui décide d’utiliser consciemment son pouvoir d’achat pour défendre les idées en lesquelles il/elle croit. dans le contexte actuel devenir consom’acteur peut par exemple se manifester par les choix suivants : acheter bio, des produits issus de commerce équitable, éviter les produits sur-emballés, favoriser le commerce de proximité etc. dans le cadre des activités de l’association arise, la première activité consom’actrice a démarré le lundi 5 décembre 2011, par la promotion des vertus du cacao, auprès des consommateurs ivoiriens, afin d’accroître leur intérêt dans la consommation de la poudre pure de cacao naturel. des prospectus de ce type ci-dessous ont été distribués. consom’action de la poudre de cacao : savez-vous les vertus du cacao? contre les maladies cardiovasculaires : bon pour le cŒur et les vaisseaux sanguins bon pour diabetiques et hypertendus antioxydant : contre viellissement, radicaux libres, cancer antistress etc… anti-fatigue, relaxant bonne comsommation contacts : 06635419- 07085052 http://arise.unblog.fr/consomaction/ la stratégie régionale de réduction de la pauvreté en afrique de l’ouest encore reporté à janvier 2013 ; aveu d’impuissance? commentaires : 0 - date : 6 september, 2011 - catégorie : non classé la stratégie régionale de réduction de la pauvreté en afrique de l’ouest va démarrer en janvier 2013, c’est l’une des conclusions de l’atelier de validation des documents de communication et de mobilisation des ressources de cette stratégie qui s’est achevé cet après-midi du 16 mai 2011 à dakar, au sénégal. encore un report pour l’opérationnalisation de la stratégie ! au vue de cela, certains pourrait honnêtement y voir un aveu d’impuissance… c’est pourquoi, de plus en plus de voix s’élèvent pour demander à la commission de la cedeao, de bien vouloir explorer d’autres canaux de mobilisation des ressources pour le financement de la stratégie régionale de réduction de la pauvreté en afrique de l’ouest en dehors des canaux traditionnels. en effet, les canaux de la spiritualité qui encouragent les hommes à prendre en compte les ressources infinies de l’Âme (telle que l’amour pour dieu et du prochain, qui jugule naturellement la méchanceté ;l’égoïsme etc…et encourage la solidarité des peuples) dans la lutte contre la pauvreté, ont toujours été et seront toujours occultés dans les forums de la commission tant que les acteurs non-etatiques (a.n.e) n’entrent pas en jeu. arise offre un cadre de rencontre des peuples, dans le partage des besoins des uns aux autres, afin que des opportunités d’affaire puissent naître dans la recherche des solutions. ” heureux est celui qui voit le besoin de son frère et y pourvoit, trouvant son propre bien en cherchant celui d’autrui ” selon mary baker eddy, tel est notre credo…nous pensons que vous devriez nous soutenir dans cette approche. votre apport est nécessaire, commencez maintenant même en adhérant à arise: http://arise.unblog.fr/consomaction/… bonne nouvelle, la fortune a votre portÉe… commentaires : 0 - date : 13 july, 2011 - catégorie : non classé bonne nouvelle, belle opportunité de gagner de l’argent, pour ceux qui envisagent se joindre à l’initiative de l’ (a.r.i.s.e). cela leur permettra de: 1.finaliser leur adhésion à arise (http://www.ariseci.org/adhesion.htm); 2.avoir une carte bancaire prépayée visa (africards ou ecobank) ; 3.une part sociale à l’institution de microfinance en création dénommée “cooperise” 4.et du cash pour eux-même. saviez-vous que la lonaci (loterie nationale de côte d’ivoire) a au chapitre de ses missions,la possibilité de financer des projets de haute portée sociale…..(http://www.lonaci.ci/pdf/criteres_oeuvres_sociales_lonaci.pdf). et bien, cela cadre avec l’objet de notre (a.r.i.s.e), qui y trouve une belle opportunité. nous avons donc mis en oeuvre un réseau de vente des produits à grattage awale ; coffre fort ; tic tac ; tce et rapido etc…que nous appelons coup de pouce fortune ainsi, à tous les adhérents à l’association qui coche le projet “fortune”, est expédié un bulletin coup de pouce fortune, qu’ils peuvent remplir en jouant aux différents produits à grattage de notre loterie nationale. ils ont d’une part l’opportunité de décrocher le gros lot (et c’est la fortune pour eux), et d’autre part l’opportunité de gagner une partie des retombées de cette initiative de solidarité, à travers ce marketing de réseau efficace et concret. alors qu’attendez-vous…ici on dit “dindin man n’a pas luck” (http://www.ariseci.org/adhesion.htm) yao directeur exécutif au fait, qu’est-ce que la solidarité? commentaires : 0 - date : 29 june, 2011 - catégorie : non classé et si on se rappelait la signification exacte de ce mot : solidarite (cherchons ici www.toupie.org/dictionnaire/solidarite.htm solidarité “un pour tous, tous pour un.” définition de solidarité etymologie : du latin “solidus”, entier, consistant, lien unissant entre eux les débiteurs d’une somme. la solidarité est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d’un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. ainsi les problèmes rencontrés par l’un ou plusieurs de ses membres concernent l’ensemble du groupe. la solidarité conduit l’homme à se comporter comme s’il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c’est l’avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis. en matière juridique (ce qui est l’origine première du mot solidaire), lorsque la solidarité est prononcée, notamment pour des créances, chacun des membres du groupe est engagé, en termes de dette et de responsabilité, pour la totalité. la dette ne peut alors être divisée et répartie entre les individus. la solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante qui unissent le destin de tous les hommes les uns aux autres. c’est une démarche humaniste qui fait prendre conscience que tous les hommes appartiennent à la même communauté d’intérêt. la solidarité doit être distinguée de l’altruisme qui conduit à aider son prochain, par simple engagement moral, sans qu’il y ait nécessité de réciprocité, ainsi que de la coopération où chacun travaille dans un esprit d’intérêt général pour l’ensemble. emile durkheim (1858-1917), sociologue français, a montré que la solidarité pouvait prendre des formes différentes : solidarité fondée sur la similarité des individus dans les sociétés traditionnelles à forte conscience collective, solidarité liée aux interdépendances dans les sociétés modernes en raison de la division du travail et l’individualisme. le sociologue fait de la solidarité une attitude primitivement sociale et non le résultat de l’action morale individuelle. exemple d’organisations basées sur la valeur positive de solidarité : les syndicats, les organisations non gouvernementales (ong), les mutuelles de santé ou d’assurance, de nombreuses associations, des partis politiques, des institutions publiques. analyse de la situation de la solidarité économique en côte d’ivoire commentaires : 0 - date : 25 january, 2011 - catégorie : non classé arise a initié le 16 septembre 2009, une conférence dejeuner, à l’hotel du district d’abidjan au plateau, à la salle delafosse. le thème était :”association de solidarité économique, quelle approche?” face aux nombreux échecs des initiatives de solidarité économique enregistrées (exemple: akoundaouflé; world partner organisation etc…) ; les échecs de gestion dans les mutuelles d’épargnes et de crédit (exemple: caisse financière de la communauté chrétienne “cfcc” ; les cmec…) aujourd’hui sous administration provisoire ; les insuffisances des réseaux de vente en marketing direct dans la lutte contre la pauvreté(exemple: power-club; tresorex…) il incombait à notre association de lancer le débat, afin d’afficher les causes du mal et les prévenir. les maux suivants ont été cités: 1.insuffisance du contrôle interne ; 2.insuffisance de transparence ; 3.forte personalité des dirigeants principaux, en occurrence les présidents qui neutralisent les organes de gestion et de contrôle de l’organisation. 4.les membres mécontents se décrochent en vague des activités solidaires, provoquant l’asphysie de l’organisation. vos contributions à ces échanges d’idées pour aider à renforcer les initiatives de solidarité sont les bien venues.. faut-il désespérer face au chômage? commentaires : 0 - date : 23 january, 2011 - catégorie : non classé “le jeune vendeur de fruits et de légumes ambulant de 26 ans est décédé ce mercredi des suites de ses blessures. le 17 décembre dernier, il avait tenté de s’immoler par le feu devant la préfecture de sidi bouzid , dans le centre-ouest de la tunisie. la police venait de lui confisquer sa marchandise, arguant qu’il n’avait pas les autorisations nécessaires pour les vendre…” telle est le drame du jeune tunisien, diplômé, mais obligé de se débrouiller par les petites ventes; pour échapper aux vissicitudes du chômage. mais les autorités tunisiennes insensibles à son cri de coeur vont encore l’enfoncer en lui confisquant sa charette de marchandise… alors arriva ce qui devrait arrivé pour le régime politique tunisien. n’est-ce pas un message pour nous tous. dans nos villes de la cedeao, il n’est pas rare de voir des autorités municipales convisquer les marchandises des populations obligées de se débrouiller pour gagner leur pain par des petites ventes à la sauvette. c’est donc un message pour nous tous….le chômage doit être combattu de façon methodique. nous pensons que les autorités doivent se pencher sérieusement sur l’environnement des affaires dans notre sous région cedeao; afin que des organisations non gouvernementales telleque “arise” ou tous autres organisations puissent mettre en oeuvre leurs projets d’investissement qui créent des emplois. nos autorités de la cedeao devraient rendre officiel les statistiques à propos du chômage et les suivrent comme la prunelle de nos yeux… 1 2 recherche archives february 2018 january 2017 april 2013 january 2012 december 2011 september 2011 july 2011 june 2011 january 2011 meta register log in catégories non classé (12) liens créer un blog unblog.fr enghien maginot cotte | comité de jumelage le relec... | arplaisir | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | association des ressortissa... | animationsberlaquines | les amis des bibliophiles d...
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